Dans le cadre du festival « L’histoire à venir », Pauline Peretz participe à deux rencontres programmées les 26 et 27 mai. L’édition de cette année s’intitule « Il était une fois le progrès »

Créé en 2017, L’histoire à venir est un festival d’histoire et de sciences sociales novateur qui a pour ambition de montrer que l’histoire peut et doit nous aider à comprendre les enjeux des débats contemporains.

 

26 mai : Aux frontières, du progrès ?

avec Nastassja Martin, Pauline Peretz, Emmanuelle Perez Tisserant

Les lieux reculés, que ce soit le désert d’Arizona, l’Alaska ou le Kamtchatka, sont des lieux de contrainte, autant que d’accommodements, d’aménagements et d’expérimentations que permet l’éloignement du centre, rendus parfois nécessaires par des conditions extrêmes. Ces situations exceptionnelles conduisent parfois à davantage de surveillance, à des privations de liberté, mais aussi à des formes de vie originales, des marges de manœuvre inattendues, des niches d’autonomie.

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27 mai : Qu’est-ce qu’un gouvernement « progressiste »

avec Timur Atnashev, Romain Huret, Franck Gaudichaud, Pauline Peretz, Sébastien Rozeaux

Dans l’histoire contemporaine et sur différents continents, plusieurs partis, gouvernements ou mouvements se sont revendiqués du progrès et/ou ont été qualifiés de « progressistes ». Que signifie cette prise en charge du progrès et à quelles pratiques, modèles de développement et idéologies renvoie-t-elle ? Quel positionnement et tensions par rapport à la polarité droite-gauche ? Quelles variations peut-on observer dans le temps et dans l’espace ? Autant de questions qui seront discutées depuis les Amériques et l’Europe.

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